Le Figaro développe ses activités dans le monde du vin à travers la création d’un Club Vin pour ses lecteurs. Sa vocation est d'organiser des soirées de dégustations prestigieuses et conviviales. Nos premières soirées (Champagne et Bourgogne), ont réuni près de 150 lecteurs/amateurs chacune.

Un type rentre dans un supermarché et achète un magnum de porto. En sortant, il confie à la caissière: -"C'est pour soigner la constipation de ma femme" A la fermeture, la cassière sort du magasin; en face de celui-ci, elle croise son client, assis sur un banc, la bouteille vide à côté de lui, et quant à lui, passablement plein.

Dans un récent communiqué, Ubifrance annonce « une politique volontariste de soutien de la filière vitivinicole ». Convaincue que l'exportation n'est plus un choix mais une obligation pour la filière, elle renforcera à partir de l'an prochain le nombre de ses «Rendez-vous Vins et Spiritueux » dans de nombreux pays.

Le Beaujolais nouveau et la grand messe planétaire qui accompagne sa sortie ne sont pas prêts de disparaître. Dans quelques semaines, à Paris, Tokyo, New York ou Prague, ils seront encore des milliers dans les bars et dans les rues pour célébrer la naissance du millésime 2007. Mais l'avenir de cette idée marketing géniale qu'est le beaujolais nouveau ne ressemble plus à un rêve éveillé.

Selon les prévisions établies au 1er novembre par le ministère, la récolte 2007 sera inférieure de 10% à la moyenne des cinq dernières années et de 11% à celle de 2006 (53,025 mhl). La récolte 2007 devrait se répartir en 23,1 millions d'hectolitres de vins d'appellation, 17,4 M hl de vins de pays et autres vins et 6,6 M hl pour les vins aptes à l'élaboration du cognac ou de l'armagnac.

Une célèbre brasserie belge a obtenu de la Cour de justice européenne le droit de mentionner sur l'étiquette de l'une de ses bières la proximité avec la catégorie du champagne, rapportent les médias locaux.

Martine Coutier, linguiste au CNRS, recense le vocabulaire du vin :
Que celui qui n’a jamais avoué rêver de dépasser le stade du «hum, pas mal ton vin rouge» se resserve un verre. Car comme l’écrivait Colette, quand les palais se mouillent «les langues se délient». Mais encore faut-il manier la langue vinique, celle qui vous taquine des expressions râleuses comme «il terroite» (un peu rustique ta bibine) ou «renarde»(il sent le fauve ton jaja ?) ou des emportements en forme de «caressant», «exubérant», «pulpeux», «généreux»… En pleine période des foires aux vins (et des dîners qui forcément s’ensuivent), le Dictionnaire de la langue du vin (1), de Martine Coutier, linguiste chercheuse au CNRS, vient à point. Pas un énième lexique, mais une gouleyante somme, avec une belle plongée historique dans l’apparition de chacun des mots, au gré des progrès de la vinification et de l’essor commercial vinicole. Le tout relevé d’un chapelet de citations (lire ci-dessous).

La situation de la viticulture française rend nécessaire un soutien renforcé aux exportations de vins français sur les marchés étrangers : Dominique BUSSEREAU, Ministre de l’Agriculture et de la Pêche et Christine LAGARDE, Ministre délégué au Commerce extérieure prendront dans les prochains jours des initiatives en ce sens.

* Nom de la région délimitée de production (Bourgogne, Bordeaux…).
* Mention appellation d’origine contrôlée (AOC) ou vin délimité de qualité supérieure (VDQS), suivie, pour ce dernier, d’un label de garantie VDQS avec numéro de contrôle.
* Nom et adresse de l’embouteilleur.